Vincent Ramlot est baryton-basse. Depuis son plus jeune âge, il se nourrit d’une passion pour le chant et le chant choral qu’il pratique en faisant partie de plusieurs chœurs amateurs dans la région de Mons et de La Louvière. Il décide néanmoins de ne pas se tourner vers une carrière musicale et poursuit une formation d’instituteur maternel (Namur). Il enseigne de 1991 à 2009 à l’école communale de Gottignies (Le Rœulx) et est depuis 2009 conseiller pédagogique pour le conseil de l’enseignement des communes et provinces (C.E.C.P.).
Parallèlement à ce parcours professionnel sa passion de la musique le mène à créer le chœur « Horacantus » avec Johan Trenti en 2001 et à perfectionner son chant jusqu’en 2007 auprès de la mezzo Laurence Frère avec laquelle il aborde aussi bien le répertoire sacré (oratorio) que le profane (mélodie, opéra). Il se produit ensuite en soliste dans des récitals (piano-voix) autour de l’opéra puis dans divers projets avec orchestre (Le Florilège musical, le Zéphyr Consort, l’ensemble instrumental Acanthe, l’ensemble instrumental Laetare…)
Depuis 2011, motivé par le fait de voir se côtoyer ses passions que sont la pédagogie et le chant, il rejoint la compagnie française professionnelle « Lyricatempo » qui par divers projets promeut l’opéra en milieu rural dans tout le département du Nord. Il participe à la création et chante dans le spectacle « Opéra tralala » qui se veut être une approche pédagogique de l’opéra à destination d’un très jeune public. Ce spectacle est labellisé par le conseil général du Nord et du Pas de Calais.
Il fait aussi partie de l’ensemble vocal « Appassionato » : chœur de chambre de la province de Luxembourg composé de chanteurs passionnés issus entre autres du chœur de chambre de Namur et de l’opéra royal de Wallonie. (Concerts autour de Arvo Pärt)
– « King Arthur » de Purcell, la « Petite Messe Solennelle » de Rossini, des messes brèves et la « Messe du Couronnement » de Mozart
– Des concerts autour de Händel (Ariodante, Orlando), de Rameau (les Indes galantes)
– Schubert lors des nuits musicales de Belœil
– Les sept paroles du christ en croix » de Schütz
– Le magnificat et des cantates de J-S Bach, la grand-messe en Si, la passion selon Saint Jean (airs et Pilate),
– Le stabat mater de Caldara, de la musique « baroque sud-américaine »